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mes rêves

5 mars 2008

le 5 mars 2008

Je suis dans un bus avec Filbes, dont je suis le conseiller. Nous allons assister à un grand événement où il doit parler. Avec nous, Jean Crétin, qui cherche du boulot et qui finalement est embauché. Filbes a un blazer vert, je le repeins en bleu nuit, avec un pinceau et un port de peinture. Je commence par la doublure, puis je fais la moitié du col. Je n'ai pas le temps de finir parce que nous arrivons. Nous descendons du car. Crétin et moi nous nous dirigeons vers le pavillon des artistes. Au fond de moi je suis un peu inquiet parce que j'ai peur d'être confronté à de vrais artistes, je sais que je n'en suis pas un. Je transporte avec moi, outre mon pot de peinture, une chaise à assise en plastique et armature métallique. J'espère que je vais pouvoir trouver le temps de finir la peinture du col de Filbes.

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4 mars 2008

4 mars 2008

3 séquences.

Premier rêve

Je participe à un groupe de Gestalt. C’est un dimanche.  Le groupe se termine par un pugilat général. J’assaisonne particulièrement un gars (en fait, j’ai l’impression que je lui frotte la tête très fort avec moin poing serré). Une fois le combat terminé, il m’apprend que c’est lui l’animateur du groupe. Il n’a pas l’air de m’en vouloir, même s’il a un peu mal.

Deuxième rêve

Je rencontre Driss, qui est lui aussi un participant du groupe, même s’il n’a pas pu venir. Nous montons ensemble dans un arbre gigantesque, dont la sève a des propriété psychotropes. Nous redescendons, et là rencontre avec une bande. Driss s’enfuie (il les connaissait). Je remonte dans l’arbre avec la bande, pas très rassuré. A la fin, il me semble que la bande se disperse.

Troisième rêve

Nous sommes dans un lieu de rencontre gai. Il y a des douces. Je prends une douche, je bande, et je me caresse le sexe. Driss est un peu plus loin, dans une autre douche. Je vois qu’il bande. Il est seul, je me dis que nous allons pouvoir baiser et je me rapproche de lui. Il met un peignoir et il s’n va. Apparemment, ce n’est pas pour cette fois-ci.

3 mars 2008

le 3 mars 2008

Rêve pas très intéressant.

Je suis invité à une réception à T. Grand buffet, plein de bouffe partout dans le hall. Brève discussion avec un gars et une femme que je connaissais d’il y a 20 ou 30 ans, mais qui ne m’intéressent pas beaucoup. Puis je cherche d’autres connaissances, et je suis déçu de ne trouver personne de ma connaissance. J’apprends que c’est une réception pour les fournisseurs, et, techniquement, j'en suis un puisque j'ai fourni des prestations de conseil.

Je monte chez quelqu’un, avec une femme. La femme est une amie, je la drague un peu, elle a l’air d’y croire. Mais c’est l’homme chez qui nous allons qui m’intéresse vraiment, je commence à l’entreprendre quand arrive Jérôme. Relation un peu difficile. Je comprends que Jérome est l’amant du mec que je draguais…

Du coup je reviens dans le hall et je bouffe. C’est la fin de la réception, il ne reste plus que des desserts, et il y a des dames qui commencent  à tout ramasser. Heureusement, il y a des piles de pâtisseries arabes. Je m’empiffre.

3 mars 2008

1er mars 2008

Je suis un officier étranger, invité dans une brigade anti-aérienne asiatique (peut-être japonaise). On me fait entrer dans la salle de travail. C’est une toute petite pièce, sans fenêtre, dont les murs sont en terre humide, et menacent de s’écrouler. J’ai l’impression d’étouffer. Je ressors de la pièce, avec un ami, officier de la brigade, qui m’accompagne. A ce moment l’attaque aérienne a lieu. La brigade remporte une grande victoire (je ne sais pas trop comment, puisqu’ils sont tous enfermés dans leur petite pièce aux murs en terre. C’est probablement par la pensée qu’ils agissent sur les ennemis). Je me sens un peu fautif, puisque je n’étais pas là au moment du combat, mais ce n’est pas bien grave, on n’avait pas vraiment besoin de moi.

3 mars 2008

29 février

Premier rêve

C’est la plus ancien, et il m’en revient une seule image. Un beau mec, dans un vestiaire, assis sur un banc, en train de se branler devant plein de monde. J’admirais sa bitte, belle et droite, avec un gland un peu rouge. Je voulais prendre un stylo à côté du mec, je me suis trompé, j’ai touché sa bitte. Je me suis excusé.

Il y avait une longue suite (non sexuelle) qui parlait surtout de ce gars et de sa petite amie, mais je l’ai oubliée.

Deuxième rêve

Je rencontre Chantal, que je n’ai pas vu depuis 20 ans (ma première secrétaire !) dans le RER. Du coup, je me retrouve à T., et la elle reçoit un coup de fil pour moi. Je suis dans un grand open space, elle me passe le coup de fil sur un vieux téléphone gris en bakelite qui se trouve sur le bureau à côté de moi dont l’occupant n’est pas en core arrivé. C’est Marie, qui m’annonce que ça y est, Dora a les clés du studio. Il fallait faire vite pour qu’il ne soit pas loué. Je suis furieux d’être mis devant le fait accompli, je dis qu’il fallait au moins vérifier les correspondances de transports en commun. Dora me donne des explications complémentaires, dont je comprends qu’elle a un petit amis, Corentin (c’est nouveau) et qu’il s’agissait de le mettre lui devant le fait accompli…

Troisième rêve

Après ou avant un match qui n’a pas eu lieu, quelqu’un me donne des billets à se faire rembourser. J’y vais. On me dit que c’est trop tard et on note les numéros. Je retourne avec les gens qui m’ont donné les billets. Là on apprend que nous ne serons pas remboursés. Je retourne au guichet. Le guichetier, pour toute explication, me montre trois dessins tirés de Gotlib, dont le héros se trouve dans une situation analogue à la mienne, et son attitude est décrite par un mot dans la troisième planche. Le mot m’enchante, du coup je trouve le guichetier vraiment sympa de me l’avoir fourni. Evidemment, j’ai oublié le mot….

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3 mars 2008

28 février 2008

Deux rêves de début de nuit.

Je les aime bien, je fais des efforts pour m’en souvenir, et je crains de les perdre. Du coup, je me réveille vers 5 heures du matin pour les noter dans l’ordinateur.

Premier rêve

J’ai une dame au téléphone. Elle pense que j’ai pris des engagements vis-à-vis de sa fille (mariage ou autre) et elle me donne ses recommandations, comme quoi je dois être gentil avec elle, etc. J’ai dû mal à lui expliquer que je suis marié, que je n’ai pris aucun engagement vis-à-vis de sa fille, mais je n’ose trop rien dire. Nous sommes dans un appartement au troisième étage, et je vois Dora qui fait des acrobaties à la fenêtres, accrochées au battant des volets. Vu la hauteur, j’ai peur pour elle. Je demande à la dame au téléphone de m’excuser. Je vais chercher Dora mais elle est déjà rentrée dans la sécurité de l’appartement. Je suis à la fois soulagé et en colère. Je lui dis de ne jamais refaire ça. Elle me dit qu’elle l’a déjà fait auparavant. Je lui dit oui, mais tu étais doublement attachée, avec harnais et deux cordes, et je voisl’image de Dora doublement sécurisée.

Deuxième rêve

Dans un grand hôtel, à Paris ou à Londres, je vais voir un leader palestinien, pour lui présenter mon enfant. Je suis la mère de l’enfant, et mon mari est un cousin du leader. Il semble très heureux de nous voir, et nous dit de repasser le lendemain. Je sors dans le hall de l’hôtel. Là, un agent secret nous aborde, et me dit de quitter Paris pendant au moins quatre jours. Je lui dit que j’habite à Paris. Il me conseille alors de ne pas remettre les pieds à l’hôtel.

Deux autres rêves, avant le réveil, un peu vagues.

Troisième rêve

Il s’agissait de manœuvres militaires contre des chinois. Juste des exercices, pas une vraie guerre, mais nous nous faisions régulièrement humilier. La manœuvre se faisait en trois étapes ; au cours de la troisième, chaque soldat chinois prenait possession sexuelle de son homologue, c’était la corvée qui échouait au vaincu. Pour ma part, en tant qu’officier, j’étais possédé par l’officier chinois, que je trouvais très gentil et prévenant, et que j’admirais beaucoup.

Il y avait une sorte de suite où nous étions attachés, sur des espèces de chariot, style médical, et où nous passions, comme à la chaîne, d’une machine à l’autre, qui allaient se livrer sur nous à des sévices sexuels divers, et non identifiés.

Quatrième rêve

Une réunion à R. où Jean se laissait contredire par son chef. Après la réunion, quelqu’un faisait remarquer que Jean avait bien changé, puisqu’il pouvait se faire contredire par son chef sans se mettre en colère. Jean souriait ; son expression était celle de l’homme qui détenait une certitude et se situait bienau-delà de ces détails. Il ne disait rien.

3 mars 2008

27 février 2008

Nuit entrecoupée de réveils. Il faisait trop chaud dans la pièce, j’avais mis deux bûches dans le poêle quand je suis rentré à la chambre le soir. A chaque réveil, un rêve. Dans la nuit, j’ai fait l’effort de me souvenir de ces rêves, pour pouvoir les noter dans le journal. Voici ce qui en reste.

Premier rêve

En deux séquences

-          Première séquence : Richard a chargé Gildas d'émettre une facture auprès de Lafricain.

-          Deuxième séquence : en me promenant dans un espèce de hall d’exposition en travaux, je rencontre Gildas, qui me dit que Lafricain n’a toujours pas payé. Nous allons ensemble voir Richard pour décider si nous le mettons en contentieux.

Second rêve

Sur le projet de réseau, on nomme trois experts pour prendre notre place. Ils s’installent dans mon bureau, et je m’installe dans un grand open space. Ils n’y connaissent rien, et viennent me demander quoi faire

Il y avait au moins un troisième rêve, beaucoup plus long et intéressant. Malheureusement, il a été effacé par le sommeil, et malgré tous mes efforts, rien ne revient.

3 mars 2008

22 février 2008

Reve un peu confus.

Grande maison au milieu de la nature, puis voyage en TGV jusqu’à Lyon.

Les TGV sont surprenants : ce sont des espèces de poteaux métalliques d’au moins

30 mètres

de haut. Je suis seul au sommet du poteau, bien attaché sur une sorte de petite plateforme. Je regarde en bas, je me sens un peu en insécurité. A l’arrivée, le poteau bascule pour me libérer. Sentiment de chute, un peu de frayeur, mais tout va bien.

Toujours sur mon poteau, je vais voir le conducteur du TGV. En fait ils sont deux, assis sur les mêmes poteaux, mais avec une table devant eux avec les commandes. C’est une table parallélépipédique, métallique, blanche. Le conducteur qui est en seconde position, c’est Lacusse. Je le salue.

3 mars 2008

26 février 2008

Rêve un peu confus.

Je fais partie d’une bande de 4 amis plutôt homo.
Nous sommes en charge de la maintenance d’un système de déplacement à grande vitesse. Il s’agit de boules qui sont suspendues à des câbles, un peu comme un téléphérique, et qui se déplacent de ville en ville.

Tout le système tombe en panne, et menace d’exploser.

Heureusement, le jeune électricien trouve une solution astucieuse pour empêcher le désastre.

Par la suite, nous nous retrouvons à trois, et nous nous promenons dans une ville. Au détour de la rue, sous un hangar, nous voyons notre quatrième qui a une relation avec un superbe métis. Le gars est magnifique, leur position nous permet d’admirer sa feuille de rose offerte. Surprise, puis admiration. Et aussi une sorte de fierté, un peu le même sentiment que vis-à-vis du jeune électricien tout à l’heure.

La scène se reproduit une deuxième fois, mais cette fois-ci, un des trois a rejoint le duo.

20 février 2008

20 février 2008

Nous étions en voyage, Marie et les enfants. Nous revenions probablement du ski, en train, et le train s'arrêtait dans une ville d'Allemagne. Nous devions probablement changer de train. Marie est partie se renseigner. Cela a pris longtemps. Elle ne revenait pas et je commençais à m'inquiéter. Les enfants sont restés dans le train, je suis sorti la chercher. J'ai d'abord rencontré notre accompagnateur, qui avait l'air plutôt jovial : il était en train de déjeuner de bon appétit avec des collègues à lui. Je suis sorti de la gare, et j'ai reconnu la ville allemande (Mannheim ou Stuttgart, en tout cas une ville où je n'ai jamais mis les pieds mais que pourtant je reconnaissais dans le rêve). Il y avait de grandes avenues, très larges, et, en face de la gare, une église qui ressemblait beaucoup à l'église de Créteil (en plus grand) et une deuxième église (un peu plus petite à côté de la première). Je suis rentré à nouveau dans la gare, et là l'accompagnateur m'a suggéré d'appeler Marie sur son portable. Je me suis dit que j'aurais pu y penser plus tôt, et que même en Allemagne nos portables sont censés fonctionner. J'allais l'appeler, mais le portable m'a échappé des mains, il est tombé, et j'ai cru qu'il était cassé. Je l'ai repris, et il fonctionnait de façon bizarre : il affichait le nom de stations de radios qui se succédeient les unes autres autres.

Interprétation : le désir secret serait-il la disparition de Marie ? Elle provoque de l'angoisse. L'église de Créteil, c'est le travail que nous faisons avec Elise, puisque nous passons devant elle à chaque fois que nous allons à la séance ; c'est aussi l'univers propre, bien ordonné, un peu vide. L'accompagnateur, c'est le gars bon vivant, qui ne se fait pas de souci. La disparition, c'est aussi la chute du portable. Je retrouve l'angoisse qu'il soit cassé. 

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