Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
mes rêves
3 mars 2008

28 février 2008

Deux rêves de début de nuit.

Je les aime bien, je fais des efforts pour m’en souvenir, et je crains de les perdre. Du coup, je me réveille vers 5 heures du matin pour les noter dans l’ordinateur.

Premier rêve

J’ai une dame au téléphone. Elle pense que j’ai pris des engagements vis-à-vis de sa fille (mariage ou autre) et elle me donne ses recommandations, comme quoi je dois être gentil avec elle, etc. J’ai dû mal à lui expliquer que je suis marié, que je n’ai pris aucun engagement vis-à-vis de sa fille, mais je n’ose trop rien dire. Nous sommes dans un appartement au troisième étage, et je vois Dora qui fait des acrobaties à la fenêtres, accrochées au battant des volets. Vu la hauteur, j’ai peur pour elle. Je demande à la dame au téléphone de m’excuser. Je vais chercher Dora mais elle est déjà rentrée dans la sécurité de l’appartement. Je suis à la fois soulagé et en colère. Je lui dis de ne jamais refaire ça. Elle me dit qu’elle l’a déjà fait auparavant. Je lui dit oui, mais tu étais doublement attachée, avec harnais et deux cordes, et je voisl’image de Dora doublement sécurisée.

Deuxième rêve

Dans un grand hôtel, à Paris ou à Londres, je vais voir un leader palestinien, pour lui présenter mon enfant. Je suis la mère de l’enfant, et mon mari est un cousin du leader. Il semble très heureux de nous voir, et nous dit de repasser le lendemain. Je sors dans le hall de l’hôtel. Là, un agent secret nous aborde, et me dit de quitter Paris pendant au moins quatre jours. Je lui dit que j’habite à Paris. Il me conseille alors de ne pas remettre les pieds à l’hôtel.

Deux autres rêves, avant le réveil, un peu vagues.

Troisième rêve

Il s’agissait de manœuvres militaires contre des chinois. Juste des exercices, pas une vraie guerre, mais nous nous faisions régulièrement humilier. La manœuvre se faisait en trois étapes ; au cours de la troisième, chaque soldat chinois prenait possession sexuelle de son homologue, c’était la corvée qui échouait au vaincu. Pour ma part, en tant qu’officier, j’étais possédé par l’officier chinois, que je trouvais très gentil et prévenant, et que j’admirais beaucoup.

Il y avait une sorte de suite où nous étions attachés, sur des espèces de chariot, style médical, et où nous passions, comme à la chaîne, d’une machine à l’autre, qui allaient se livrer sur nous à des sévices sexuels divers, et non identifiés.

Quatrième rêve

Une réunion à R. où Jean se laissait contredire par son chef. Après la réunion, quelqu’un faisait remarquer que Jean avait bien changé, puisqu’il pouvait se faire contredire par son chef sans se mettre en colère. Jean souriait ; son expression était celle de l’homme qui détenait une certitude et se situait bienau-delà de ces détails. Il ne disait rien.

Publicité
Publicité
Commentaires
mes rêves
Publicité
Publicité